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Le comité directeur

Directrice générale par intérim, Maîtrise en politiques publiques dans la société numérique, Université McMaster

Brenda McPhail

Auparavant directrice du programme sur la protection de la vie privée, la technologie et la surveillance de l’Association canadienne des libertés civiles (en congé), Brenda McPhail participe depuis longtemps à divers processus d’élaboration de politiques publiques.

Auparavant directrice du programme sur la protection de la vie privée, la technologie et la surveillance de l’Association canadienne des libertés civiles (en congé), Brenda McPhail participe depuis longtemps à divers processus d’élaboration de politiques publiques. Ses travaux de recherche au sein d’une organisation nationale de défense juridique à but non lucratif ont permis de soutenir des litiges devant des tribunaux jusqu’à la Cour suprême du Canada, ainsi que des initiatives de réforme législative et d’éducation du public sur la manière dont le droit à la vie privée est menacé dans la société contemporaine. Dans ses fonctions actuelles à l’Université McMaster, elle contribue à former la prochaine génération de responsables politiques qui, une fois diplômés, auront une compréhension approfondie des implications sociotechniques de la « transition vers le numérique » dans toute une série de contextes et de secteurs politiques.

Elle a témoigné à titre d’experte devant des comités parlementaires et sénatoriaux sur le droit à la vie privée, la sécurité nationale et les données biométriques, et est membre du conseil consultatif du Commissaire à l’information et à la protection de la vie privée de l’Ontario. Ses projets de recherche actuels, soutenus par des subventions, comprennent des études sur les applications de surveillance en milieu de travail, la gouvernance des médias et l’IA, ainsi que la confidentialité des données des soins de santé virtuels. Brenda McPhail est titulaire d’un doctorat de la Faculté de l’information de l’Université de Toronto.

Chercheuse et professeure, Institut universitaire de la technologie de l’Ontario

Kanika Samuels-Wortley

Kanika Samuels-Wortley est professeure agrégée au Département de criminologie et de justice de l’Institut universitaire de la technologie de l’Ontario et est actuellement chercheuse invitée à la School of Regulation and Global Governance (RegNet) de l’Australian National University.

Kanika Samuels-Wortley est professeure agrégée au Département de criminologie et de justice de l’Institut universitaire de la technologie de l’Ontario et est actuellement chercheuse invitée à la School of Regulation and Global Governance (RegNet) de l’Australian National University. Les recherches de Mme Samuels-Wortley portent sur l’intersection de la race, du racisme et du système de justice pénale. Ses travaux s’appuient sur des méthodes mixtes et critiques pour mieux comprendre l’incidence des préjugés raciaux et de la discrimination sur l’expérience et la perception qu’ont les Noirs et les Autochtones des forces de l’ordre au Canada. Son programme de recherche actuel explore l’utilisation des technologies policières prédictives au sein des services de police canadiens et le rôle que celles-ci peuvent jouer dans l’exacerbation des inégalités raciales. Elle est titulaire d’un baccalauréat (spécialisé) de l’Université de Toronto, d’une maîtrise de l’Institut universitaire de la technologie de l’Ontario et d’un doctorat de l’Université de Waterloo.
Coordonnateur national, Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles

Tim McSorely

Tim McSorley est le coordonnateur national de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles (CSILC). Son travail se concentre sur l’avancement du mandat de la Coalition qui consiste à défendre les libertés civiles au Canada contre l’incidence des lois sur la sécurité nationale et la lutte contre le terrorisme.

Tim McSorley est le coordonnateur national de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles (CSILC). Son travail se concentre sur l’avancement du mandat de la Coalition qui consiste à défendre les libertés civiles au Canada contre l’incidence des lois sur la sécurité nationale et la lutte contre le terrorisme. Il s’agit notamment de publier des rapports de recherche et des notes d’orientation, de mobiliser le public et de plaider auprès des législateurs. Les priorités actuelles comprennent les nouvelles formes de surveillance; le profilage religieux, racial et politique; la complicité du gouvernement dans les actes de torture, les sévices et les mauvais traitements et le ciblage des organisations de la société civile. M. McSorely est titulaire d’un baccalauréat en journalisme et en sciences politiques de l’Université Concordia de Montréal. Auparavant, il était coordonnateur de la coopérative des médias et de la coalition Voices-Voix. Il réside actuellement à Ottawa.
Directeur intérimaire, Vie privée, technologie et surveillance, ACLC

Daniel Konikoff

Daniel Konikoff est directeur intérimaire du programme sur la protection de la vie privée, la technologie et la surveillance à l’ACLC.

Daniel Konikoff est directeur intérimaire du programme sur la protection de la vie privée, la technologie et la surveillance à l’ACLC. Il supervise et met en œuvre des stratégies de plaidoyer visant à réformer la législation sur la protection de la vie privée, à défendre les droits en ce qui concerne la perquisition et la saisie, et à suivre les développements à l’intersection de la surveillance, de la technologie et de la sécurité nationale. Son travail englobe la gestion stratégique des litiges, la sensibilisation et l’éducation du public, ainsi que l’engagement auprès des décideurs politiques.
M. Konikoff fait des études doctorales au Centre de criminologie et d’études sociolégales de l’Université de Toronto. Il rédige une thèse sur la gouvernance de la technologie policière au Canada et a donné des cours de premier cycle sur la place de la technologie numérique dans le système de justice pénale moderne. Avant ses études doctorales, il a travaillé bénévolement pour le Centre of Research, Policy & Program Development de la John Howard Society, où il a participé à des projets sur la réforme de la mise en liberté sous caution et la vérification des antécédents judiciaires.
Chercheuse en politique technologique

Christelle Tessono

Les recherches de Christelle Tessono se concentrent sur la relation entre l’inégalité raciale et la technologie numérique du point de vue de la gouvernance.

Les recherches de Christelle Tessono se concentrent sur la relation entre l’inégalité raciale et la technologie numérique du point de vue de la gouvernance. Ce domaine l’a amenée à travailler sur des projets liés à la publicité politique sur les plateformes de médias sociaux, au travail à la demande, à la biométrie et à la réglementation de l’IA. Elle est actuellement chercheuse émergente au Center for Information Technology Policy (CITP) de l’Université Princeton. Auparavant stagiaire à la Chambre des communes du Canada dans le cadre du programme de stage parlementaire non partisan, elle est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université McGill.
Chercheuse en technologie de reconnaissance faciale et coordonnatrice du projet de plaidoyer

Kate Winiarz

Kate Winiarz est étudiante et chercheuse au sein du programme de common law de l’Université d’Ottawa. Ses travaux portent sur l’expérience des collectivités sous haute surveillance, le droit à la vie privée, les identités numériques et l’embourgeoisement des espaces numériques.

Kate Winiarz est étudiante et chercheuse au sein du programme de common law de l’Université d’Ottawa. Ses travaux portent sur l’expérience des collectivités sous haute surveillance, le droit à la vie privée, les identités numériques et l’embourgeoisement des espaces numériques. Elle compte plus de 15 ans d’expérience de militantisme, de défense des droits et d’organisation des travailleurs du sexe.
Les recherches de Kate Winiarz ont également porté sur l’analyse comparative mondiale de la législation et de la politique en matière de vérification de l’âge, sur les initiatives de localisation des données et sur la réglementation en matière de radiodiffusion.
Chercheur, Digital Democracies Institute

Prem Sylvester

Prem Sylvester est chercheur au Digital Democracies Institute de l’Université Simon Fraser et codirecteur du projet Beyond Verification, où il étudie l’authenticité dans les milieux d’information et ses implications pour la désinformation.

Prem Sylvester est chercheur au Digital Democracies Institute de l’Université Simon Fraser et codirecteur du projet Beyond Verification, où il étudie l’authenticité dans les milieux d’information et ses implications pour la désinformation. Il participe également à l’orientation d’un certain nombre de projets d’élaboration de politiques au sein de l’Institut. Il est titulaire d’une maîtrise en communication de l’Université Simon Fraser et d’un baccalauréat en technologie de l’information du College of Engineering Guindy, en Inde.

Past Members

Coordonnatrice de projet, Programme de protection de la vie privée, de la technologie et de la surveillance, Association canadienne des libertés civiles

Alessandra Puopolo

Les recherches d’Alessandra Puopolo portent sur l’intersection des technologies d’IA, des droits de la personne et des cadres réglementaires.

Les recherches d’Alessandra Puopolo portent sur l’intersection des technologies d’IA, des droits de la personne et des cadres réglementaires. Forte de son expérience professionnelle auprès de groupes communautaires et d’institutions du secteur privé, elle apporte une approche multisectorielle à son travail. Alessandra Puopolo a participé à divers projets de recherche et d’élaboration de politiques axées sur la protection de la vie privée, les lanceurs d’alerte et les technologies de surveillance. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université McGill et d’un doctorat en droit de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa.